Paroisse
(Chanoine Ambroise Roux)
Curé
Ugo Reggiani (+39) 0165 95114 - (+39) 340 0569817
Daniele Borbey (+39) 340 9943515
Daniele Frimaire (+39) 320 0207694
Horaire des messes :
Samedi : 18 h 30
Dimanche : 11 h
Pour faire partie de la maîtrise, s’adresser à Nicoletta Jorrioz. Tél. : (+39) 333 59 89 214
Répétitions hebdomadaires : le mercredi, à 20 h 30, dans la salle paroissiale.
Oratorio
le mercredi, à 16h30 dans les locaux de la paroisse
Catéchisme et catéchistes
École élémentaire : le vendredi, à 16h45, dans les locaux de la paroisse
Première année – Barbara Scalfi
Deuxième année – Gisella Glarey
Troisième et quatrième année – Delia Pession
Cinquième année – Sveva Lavecchia
École moyenne : le vendredi, à 16h45, dans les locaux de la paroisse
Première année – Sveva Lavecchia
Incontro Anziani
dans les locaux de la bibliothèque communale: samedi de 14h à 17h
L’essence d’une véritable communauté paroissiale se manifeste par l’union des fidèles qu’elle rassemble.
Mais afin que l’on puisse parler d’une communauté à tous les effets, il faut que celle-ci permette aux fidèles de donner leur avis et de partager la mission commune au moyen d’outils participatifs.
Le plus important de ces outils est le conseil pastoral, qui a pour objectif de soutenir et de promouvoir l’activité pastorale de la paroisse, ainsi que de formuler des propositions concrètes pour développer les activités de celle-ci et favoriser la coordination des différentes réalités existantes.
Le but principal dudit conseil est d’encourager la participation des fidèles et de les amener à collaborer de manière responsable à la mission pastorale.
Les membres du conseil pastoral sont élus directement par les paroissiens et reflètent la réalité chrétienne locale.
Le fonctionnement du conseil est essentiellement régi par des règles établies à l’échelon du diocèse, qui peuvent éventuellement être complétées par des statuts spécifiques.
Dans notre communauté, les membres du conseil pastoral sont : Glarey Gisella, Jorrioz Nicoletta, Marquis Cristina, Matteotti Anna, Milliery Daniela, Milliery Valter, Scalfi Barbara e Vallet Dario. Conformément aux règles établies, le conseil est présidé par le curé, qui est secondé par un secrétaire.
À l’échelon local, le conseil se caractérise par la facilité avec laquelle il organise des moments de communion, tels que la fête des couples et la fête des personnes âgées (l’organisation de cette dernière bénéficie du soutien financier de l’Administration communale).
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50° Anniversario di sacerdozio di don Quinto Vacquin - 23 giugno 2013
Domenica 23 giugno 1963 nella chiesa di Santa Croce ad Aosta c’era gran fermento: sei giovani valdostani si preparavano a ricevere il sacramento dell’Ordine.
Fra quei sacerdoti c’era anche un venticinquenne di Brusson dal ciuffo ribelle: don Quinto Vacquin.
Sul Messager dell’anno successivo, il 1964, possiamo vedere la foto scattata in quell’occasione: don Quinto è in posa con i suoi confratelli… ha un largo sorriso e le mani giunte.
E’ lo stesso sorriso che ancora oggi, a cinquant’anni esatti da quel giorno, illumina il suo volto.
E sono quelle mani gentili che in questi cinquant’anni di servizio alla comunità hanno battezzato decine di bambini, benedetto matrimoni, celebrato funerali, offerto la comunione; ma anche mani ruvide che hanno lavorato, zappato, imbiancato, sollevato pesi e che tanto hanno fatto per le nostre cappelle e le nostre chiese.
E poi, anche se da quella fotografia non si poteva sentire, c’è la voce: una voce di preghiera, di ascolto, di calma, di insegnamento e di grande umiltà; la voce del bel canto e della passione per la musica che ha saputo creare amicizia e unione.
Ed infine un gran cuore pronto ad aiutare e a venire incontro al prossimo, sempre in silenzio e senza ostentazioni.
A cinquant’anni esatti di distanza, le comunità di Arvier e di Avise, unite a quelle di Porossan e di Introd, hanno voluto ringraziare don Quinto per quanto ha fatto in questi cinquant’anni di sacerdozio e per quanto ancora farà.
Una splendida giornata di sole, iniziata con la Messa solenne concelebrata dal nostro parroco con don Minuzzo e don Segafredo, e proseguita con le foto di rito sul sagrato della chiesa e l’aperitico comunitario all’area verde.
Grazie don Quinto, grazie di cuore!
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L’ancienne horloge du clocher
À l’occasion des travaux de restauration du clocher de l’église paroissiale d’Arvier, effectués d’avril à septembre 2007, l’Administration communale d’Arvier a décidé de profiter des échafaudages destinés audits travaux pour procéder à la restauration de l’ancienne horloge du clocher et a financé cette opération dans un but culturel et historique. Placée au niveau de la fenêtre géminée au sud-est du clocher et installée dans un emplacement prévu à cet effet sur un châssis en bois, cette horloge n’était plus utilisée depuis l’entrée en fonction de la nouvelle horloge électrique, mise en place vers la fin des années 1970 grâce à l’intervention du curé de l’époque, Giuseppe Fosson. L’on ne dispose d’aucune information quant à l’histoire de cette ancienne horloge et, notamment, de son propriétaire, mais il est vraisemblable que, comme c’était généralement le cas vers la fin du XIXe siècle, celle-ci ait été achetée par l’Administration communale. Compte tenu de cela, le curé Quinto Vacquin a autorisé le déplacement de l’horloge, sa restauration et sa valorisation.
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Au mois d’août de cette même année, l’horloge a donc été démontée et descendue au moyen d’un monte-charge installé sur l’échafaudage. Elle a été ensuite confiée à l’entreprise Roberto Trebino s.n.c., l’un des fournisseurs de l’État de la Cité du Vatican. Après avoir démonté l’horloge et l’avoir transportée dans ses ateliers d’Uscio (Gênes), cette entreprise a procédé à une restauration méticuleuse, comportant les opérations suivantes :
- séparation de l’horloge de son support en bois ;
- nettoyage de tous les arbres et des roues d’entraînement, ainsi que dégraissage du châssis en fonte et des coussinets ;
- vernissage du support ;
- contrôle des volants des sonneries et mise au point ;
- récupération du balancier à ancre et polissage des cornes de l’ancre ;
- mise en place du râteau pour la sonnerie des heures et des quarts d’heures ;
- contrôle des différents leviers en acier ;
- montage en usine de toutes les parties de l’horloge ;
- fourniture d’un nouveau support d’horloge en acier ;
- montage de cordes en acier munies d’attaches pour les poulies et les poids existants ;
- montage de l’horloge sur son support, avec les poids des chaînes et le balancier.
Découverts au pied de l’escalier interne du clocher, les poids originaux en pierre n’avaient aucune valeur du point de vue historique et étaient trop encombrants pour être réutilisés après la restauration : ils ont donc été remplacés par de nouveaux poids en fer, assurant le fonctionnement du mécanisme.
L’horloge a été construite vers la fin du XIXe ou le début du XXe siècle et le disque de son pendule porte l’inscription « Isidoro Sommaruga – Costruttore Meccanico con sede in Via Solferino n. 12 – MILANO ».
Elle présente des caractéristiques intéressantes :
- sonnerie pour les heures et les demi-heures, munie de deux cylindres avec charge manuelle des poids ;
- cadran de commande ;
- pendule lourd battant la seconde ;
- échappement à chevilles avec ancre de repos.
Après avoir été restaurée, l’horloge a été placée dans la chapelle Saint-Joseph en vue de sa mise en valeur, notamment dans le cadre des expositions organisées par l’Administration communale au cours de l’été.
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L’orgue de l’église paroissiale
Samedi 15 janvier 2011, à l’occasion de la fête patronale, et en présence de toute la communauté, le nouvel orgue de l’église paroissiale Saint-Sulpice et Saint-Antoine a été inauguré.
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Comme l’atteste A. Roux (La paroisse d’Arvier, Imprimerie Catholique, Aoste, 1910), l’église Saint-Sulpice était au XVIIIe siècle dotée d’un petit orgue. Ce dernier a été restauré en 1828 par Jean-Baptiste Armand, de Saint-Nicolas. Selon A. Roux, il fut décidé en 1867 « de le remplacer par un instrument sorti des ateliers Vegezzi-Bossi de Bergame » : ce nouvel orgue doit donc être l’œuvre du facteur Giacomo, fils adoptif de Felice Bossi. Les livres de comptes de la paroisse font d’ailleurs état des paiements effectués pour l’orgue et pour son nouveau buffet.
Réparé en 1888, l’instrument fut utilisé jusqu’à la veille de la première guerre mondiale, époque à laquelle Giuseppe Dal Molin affirme, dans une lettre, l’avoir restauré et remanié. Après la guerre, ce dernier procéda également à des retouches, en 1920 et 1921.
Les documents attestent également d’autres interventions, effectuées jusqu’en 1928 par Giuseppe Dal Molin et son associé Alfredo Cordone. Le premier document qui soit parvenu jusqu’à nous après cette période date de 1965, année au cours de laquelle une importante correspondance avec l’entreprise Zaccagnini de Turin atteste que cette dernière proposa à la commune d’Arvier d’acheter un instrument d’occasion : un orgue à transmission pneumatique, réalisé aux alentours de 1939 par l’entreprise Balbiani-Bossi de Milan, assorti de son buffet, d’un banc et d’un pupitre. L’achat fut effectué et le nouvel orgue fut installé, probablement par l’entreprise Krengli de Novare, en insérant le nouveau buffet dans l’ancien, qui était plus large.
En 1983, des travaux de restauration furent confiés à Franco Dorigato. Considérant qu’il était impossible de procéder à une intervention efficace dans ce qu’il définit à l’époque comme un enchevêtrement inextricable de tuyaux partant de la console et fixés au buffet, ce dernier proposa de modifier l’orgue et d’y installer une nouvelle console électrique, fournie par Gastone Leorin de Padoue, travaux qui s’achevèrent en 1984.
En octobre 2007, après plusieurs années d’opérations d’entretien ordinaire de l’orgue – particulièrement difficiles du fait de l’entassement de ses composantes, circonstance qui a toujours compromis le bon fonctionnement de l’instrument – la procédure nécessaire à la réfection de l’orgue, assez longue et tortueuse, à cause des délais bureaucratiques inhérents à l’obtention des autorisations, a été engagée. Elle n’a abouti qu’à la fin du mois de juin 2009, date à laquelle Franco Dorigato – qui avait procédé à la restauration du début des années 1980 – put commencer les travaux prévus, qu’il acheva au mois de novembre 2010.
Malgré les différentes opérations d’entretien réalisées au cours de ces dernières années, l’emplacement extrêmement difficile à atteindre de certaines valves pneumatiques – fixées au niveau du sol et derrière de très nombreux mécanismes impossibles à démonter, même dans le cadre de travaux d’entretien extraordinaire – a rendu nécessaire une intervention destinée à résoudre les problèmes susmentionnés. Grâce à cette dernière, qui a comporté la réparation de tous les éléments endommagés, il est maintenant possible de procéder à des opérations d’entretien régulier sans devoir démonter l’ensemble de l’orgue chaque fois que des problèmes se présentent.
Avant les derniers travaux, le buffet intérieur de l’instrument – qui ne comportait aucune décoration digne de ce nom – était placé sur l’ample tribune dominant le portail de l’église, à l’intérieur du buffet de l’orgue plus ancien. Le buffet extérieur, qui appartenait à l’instrument précédent, consiste en un seul corps, muni d’appendices latéraux et d’une plate-face unique délimitée par des colonnes surmontées d’un chapiteau corinthien ; aux côtés de chaque appendice latéral, se trouve un ange jouant de la trompette, en bois sculpté.
Les travaux de restauration ont comporté l’ajoût de quelques rangées de tuyaux et de plusieurs éléments très utiles, découverts sur la vieille tribune de la chapelle Saint-Joseph, située en face de l’église paroissiale. Ces éléments – apparemment oubliés – tout comme plusieurs tuyaux de principal et d’octave, ainsi que les peignes servant à séparer les registres mécaniques, se sont avérés particulièrement importants puisqu’ils ont permis de reconstituer la conformation originale de la façade.
L’objectif de cette intervention était de conserver et de remettre en valeur les éléments les plus anciens, tels que le buffet et les tuyaux retrouvés. La restauration philologique de l’instrument n’a toutefois pu être réalisée que partiellement, une grande partie des pièces originales ayant disparu.
Les éléments existants réalisés par Balbiani ont donc été récupérés et il est maintenant possible de procéder à leur entretien régulier sans devoir démonter toutes les parties composant l’instrument.
Un nouveau sommier a été réalisé pour mettre en place les registres retrouvés : la récupération de ces derniers et des tuyaux anciens a permis d’obtenir une sonorité plus lumineuse et plus puissante que celle de l’instrument précédent, dont le volume sonore était trop faible par rapport à celui d’un chœur.
Les parties de l’orgue réalisé par la manufacture Balbiani-Bossi qui n’ont pas été réutilisées lors des travaux de restauration sont désormais exposées dans la tribune des chœurs de la chapelle Saint-Joseph, située en face de l’église paroissiale d’Arvier.
La Cantoria/Corale di Arvier
Nell'autunno del 1975 l’allora parroco Don Giuseppe Fosson si adoperò affinché la cantoria parrocchiale esistente, certamente autorevole, ma forse un po' radicata in un repertorio arcaico, si rinnovasse in modo da permettere il coinvolgimento di nuovi elementi. Fondamentale fu cercare un direttore disponibile ad organizzare un gruppo ed a coinvolgere ragazzi (e non) nella nuova formazione canora. Si assunse l'incarico Vincenzo Vigna il quale oltre ad allietare le Sante Messe riuscì, con l'approvazione dei cantori, a modificare lo status della Cantoria in Corale di Arvier. L'evoluzione venne quindi cristallizzata con l'inserimento del gruppo canoro nella rassegna annuale dei canti valdostani a partire dal maggio del 1977. La Corale era inizialmente composta da circa trenta persone: un gruppo giovane integrato da alcune voci più mature. Negli anni successivi, la nuova formazione si presentò a diverse rassegne e ampliò il suo repertorio includendo canti di tipo polifonico, i quali richiedevano una preparazione canora più impegnativa. Lo sforzo maggiore era tuttavia stimolato dal gruppo stesso, sempre pronto a nuove sfide e a sfruttare le prove come occasione di ritrovo e aggregazione. I riconoscimenti non si fecero attendere, ma le origini non vennero per questo tralasciate: la corale partecipò in effetti al “Raduno di tutte le Cantorie d'Italia” nel settembre 1980, tenutosi a Roma presso la Basilica di San Pietro.
L'impegno, la costanza e i primi riconoscimenti, permisero alla Corale di Arvier, col tempo, di affermarsi anche sulla scena italiana: la gratificazione maggiore fu ottenuta alla rassegna nazionale di canti polifonici che si svolse nella città di ADRIA (Rovigo) nell'ottobre 1982, classificandosi al 5° posto tra tutte le corali in gara. L’evento, oltre ripagare i coristi dei tanti sacrifici fatti, sigillò il gruppo di Arvier tra i più intraprendenti della scena valdostana.
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Agli appuntamenti più “agonistici” si affiancarono anche occasioni di svago, come il gemellaggio con la città di GENT (Belgio) dove la Corale si esibì nel maggio dell'83. L’occasione fu apprezzata non solo per l’accrescimento musico-culturale che ne arrivò, ma anche per i rapporti di amicizia con abitanti del posto tutt’oggi mantenuti.
Essendosi ormai affermata sui palchi nazionali ed internazionali, nonché a seguito dei buoni risultati ottenuti alla rassegna annuale di Aymavilles, la Corale di Arvier fu invitata a partecipare alla manifestazione “Arbre de Noël” (Parigi) del 1984, organizzata dalla Regione Autonoma Valle d'Aosta.
Negli anni successivi il gruppo si è esibito più volte confrontandosi con altri cori in diverse parrocchie e non mancando mai alla rassegna dei canti corali valdostani sino alla fine degli anni '80.
Successivamente la Corale di Arvier si sciolse e rimase attiva la cantoria, che con l'arrivo di Don Michel Ottin, si rinnovò con nuove voci.
Il nuovo parroco Don Quinto Vacquin, arrivato nell'ottobre 1995, con la sua sensibilità e competenza musicale riuscì a dare un nuovo slancio alla cantoria coinvolgendo persone di generazione diverse.
Infine, a seguito di una preparazione più tecnica, la direzione della cantoria venne assunta dalla Sig.ra JORRIOZ Nicoletta la quale, coadiuvata da tre organisti, degnamente prosegue tutt’oggi l'eredità lasciata dalla Corale di Arvier.